Projet Prisa : l’acceptation social projet extractif

Recherche collective 2019-2021   AUF réunissant des équipes Canadiennes (Université de Laval Canada, chaire Goldcorp, etc) et Brésiliennes (Université de Minais gerais, etc) et francaises (FMSH, Ens Rennes)

Bien que l’exploitation des mines soit indispensable, elle peut être la source de conflits sociaux. L’acceptabilité sociale est
devenue une condition à la réalisation de tout grand projet minier. Cette question s’avère centrale pour tout développeur de projet, de même que pour les investisseurs qui les soutiennent, les gouvernements qui les autorisent et les populations touchées.

Le but de cette recherche est de permettre aux acteurs du secteur minier de comprendre et d’intégrer les meilleurs pratiques juridiques afin d’obtenir leur licence sociale.

Output : Le résultat sera un document de « best practice/soft law » pour l’initiative de l’ONU Environnement sur la « licence sociale et environnementale ».

Bien que l’exploitation des mines soit indispensable, elle peut être la source de conflits sociaux. L’acceptabilité sociale est devenue une condition à la réalisation de tout grand projet minier. Cette question s’avère centrale pour tout développeur de projet, de même que pour les investisseurs qui les soutiennent, les gouvernements qui les autorisent et les populations  bouchées. Le but de cette recherche est de permettre aux acteurs du secteur minier de comprendre et d’intégrer les meilleurs pratiques juridiques afin d’obtenir leur licence sociale. Cette recherche collective vise ainsi à élaborer des « guidelines » d’acceptation sociale dans le domaine Minier

Responsables : Christopher Krolik, Natalia Chaves, professeure de droit, Faculté de droit, Université fédérale de Minas Gerais.

Responsable de l’équipe française : Gilles Lhuilier, professeur de droit, ENS Rennes. : https://www.auf.org/nouvelles/actualites/prisa-2019/