L’émergence d’un droit de la finance durable nécessite d’hybrider le droit financier/bancaire, hard law, et le droit de la RSE souvent simple soft law. Des notions sont encore à construire pour donner une crédibilité à cette finance durable, telle la notion de durabilité dans les obligations vertes, qui actuellement n’engage pas les établissements financiers émeteurs  ou les critères d’évaluation des projets industriels ou des actifs dans lesquels investissent les établissements financiers.